Cyril et Mister Tétine : Si elle les montre, c'esr pour qu'on les regarde
CYRIL est un banquier timide et consciencieux de la petite ville de GWENGAMP. Sa vie est partagée entre un travail qu’il n’apprécie que moyennement et les sorties du samedi soir avec son ami VINCENT.
Ce dernier, plus connu sous le nom de MISTER TETINE, est un voyant professionnel sans scrupule. Il ne travaille pas plus de trois jours par semaine dans le cabinet qu’il a installé dans les beaux quartiers de la capitale. Le reste du temps, ce bon vivant le passe chez ses parents, dans le village de KERTUDDIGOURDI (22).
Pendant ces années 2000, la contrée dans laquelle ils vivent est inquiétée par une série de détérioration de calvaires. Ces vielles pierres sont cependant loin des petits tracas des deux trentenaires qui pensent surtout à trouver l’âme sœur.
Une nuit cependant, alors qu’ils traversent la forêt le KOAD-AN-NOZ en revenant de discothèque, les deux amis assistent, bien malgré eux, à une scène étrange. Au même moment, un groupe de trois hommes, accompagnés par une mystérieuse femme, fait son apparition dans le bar local, tenu par RAISIN CHEF. Peu de temps après, un de leur ami, et doyen de la commune de KERTUDDIGOURDI, disparaît mystérieusement.
Tous ces événements sont-ils liés ? Une enquête mènera les deux aventuriers à arpenter les layons communaux. Éclairés par la Lune, ils les conduiront vers des aventures inattendues.
Cyril et Mister Tétine :
Il est formellement interdit d'appeler son cochon Napoléon
Soudain, un vent porteur alerta le jeune homme. Il s'arrêta et il plissa les yeux. Sur le chemin, au loin, des lumières s'approchaient. Yffig se camoufla rapidement dans un taillis de fougères. Lentement, une longue procession passa devant lui. Elle était composée d’hommes de tous âges vêtus d'une aube blanche. Il ne les compta pas mais leur nombre était impressionnant. Certains tenaient une lampe torche et d'autres, plus nombreux, un grand cierge marqué d'une croix. Plusieurs regardaient le sol mais la majorité avait les yeux rivés vers les cieux. Ils ânonnaient tous ce qui semblait être une prière. La colonne était suivie, à quelques mètres, d'hommes et de femmes du village qui semblaient être intrigués par le spectacle.
Le cortège se dirigea vers le Kastell. Les hommes d’église l'encerclèrent lentement. Une dizaine de personnes se démarquèrent. Elles étaient habillées légèrement différemment. Leurs aubes étaient rouges et elles étaient coiffées d’une toque. Lentement, elles entrèrent dans l'édifice laissé vacant.
Les nuages cachèrent la Lune, plongeant la scène dans l'ombre. Quelques gouttes d’eau commencèrent à s'écraser sur le sol.
Soudain, un vent porteur alerta le jeune homme. Il s'arrêta et il plissa les yeux. Sur le chemin, au loin, des lumières s'approchaient. Yffig se camoufla rapidement dans un taillis de fougères. Lentement, une longue procession passa devant lui. Elle était composée d’hommes de tous âges vêtus d'une aube blanche. Il ne les compta pas mais leur nombre était impressionnant. Certains tenaient une lampe torche et d'autres, plus nombreux, un grand cierge marqué d'une croix. Plusieurs regardaient le sol mais la majorité avait les yeux rivés vers les cieux. Ils ânonnaient tous ce qui semblait être une prière. La colonne était suivie, à quelques mètres, d'hommes et de femmes du village qui semblaient être intrigués par le spectacle.
Le cortège se dirigea vers le Kastell. Les hommes d’église l'encerclèrent lentement. Une dizaine de personnes se démarquèrent. Elles étaient habillées légèrement différemment. Leurs aubes étaient rouges et elles étaient coiffées d’une toque. Lentement, elles entrèrent dans l'édifice laissé vacant.
Les nuages cachèrent la Lune, plongeant la scène dans l'ombre. Quelques gouttes d’eau commencèrent à s'écraser sur le sol.
Cyril et Mister Tétine :
Il est formellement interdit d'appeler son cochon Napoléon